Il m’est souvent arrivé de marcher dans les rues de Montréal, de Québec ou de Trois-Rivières, et de croiser des hommes ou des femmes qui se parlaient à eux-mêmes, ou à un être invisible, prisonniers de leur monde imaginaire. J’ignore pourquoi, mais je me suis toujours sentie connectée à ces personnes, peut-être parce que je…
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