un mur sous l’explosion de voix-silences
des cœurs pulsent
où l’urgence d’aimer sature
l’espace
déborde
de diachylons aux milles mots
foudroient les regards indiscrets
effusionnent leurs doigts
s’enroulent
s’évanouissent dans l’abyssal
des relations bémolées
qui s’effritent aux marques pierreuses
touches d’hier au présent
l’œil se pose et rêve
suspendu