Pérouse

mes pas ébruitent les murs

de huit cents ans

les arches en pierres m’accueillent

et les portes de bois

des grillages aux fenêtres   

s’échappent mes sensibilités

je m’arrête

j’écoute     je m’écoute

m’éprends

mes yeux retrouvent une voix

au creux de l’âme

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