les pierres noircies fissurées
entre deux souffles
deux marches
j’en effleure les mots
mes mains troublent les retrouvailles
ma voix ruisselle en silence
conquise
invisible perdue
une thébaïde
en soie lumineuse
les pierres noircies fissurées
entre deux souffles
deux marches
j’en effleure les mots
mes mains troublent les retrouvailles
ma voix ruisselle en silence
conquise
invisible perdue
une thébaïde
en soie lumineuse
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